En mai 1880 la Monographie sur Saint-Jean sort enfin et sera le point de départ de la confiance accordée aux futurs ateliers.

Obsédé par les éblouissantes verrières du XII° au XVI° siècle de Chartres, Sens, Bourges et celles de la Primatiale de Lyon, la décision fût prise de ne se livrer qu'exclusivement à cet art.
Après des essais effectués dans l'ancien atelier du peintre Guichard montée du Chemin Neuf (dont les verrières de l'église St. Vincent) , Lucien obtenait l'autorisation de ses parents de construire un atelier au fond de la propriété de Choulans sur les plans de Auguste Monvenoux.